Arrivée....

S'approchant au bord des jardins, Blackwood cru apercevoir une drôle de scène : un homme, encore inconnu du vieil anglais, était assis dans une position plutôt insolite, face au Chien, stoïque, immobile ...

" Qu'est-ce qu'... ? Aurait-on trouvé plus fou que le notre ? "

Sans s'en rendre compte, Jefferson avait dans son sillage le Natif, qui intrigué de la situation, avait suivi le capitaine sans bruit ... il arborait un sourire d'enfant, et attendait le dénouement de l'histoire en marmonnant quelques mots de son dialecte d'origine ...

L'indien ayant rejoint l'Embrumé, les deux hommes étaient maintenant figé ; l'un par l'incompréhension, l'autre par la curiosité ...

Une petite crampe à l'arrière cuisse faillit surgir et Damic, évidemment, en ressentit le couperet passé pas loin. Il chantonna avec la force d'un murmure insistant une comptine pour se détendre.

Nanana hmmmmm....
Lalala hmmmmmmmm....
Oh oh oh oooooohmmmmmmm....
Na na na naaaaaa......

Et ainsi de suite, tout bas, tout fredonnant.

Cela faisait presque dix minutes que le Chien fixait l'intrus, sans moufter ...
De temps en temps un geste nerveux de la tête lui faisait regarder autour de lui, mais les yeux retournaient systématiquement sur l'intrus ...

Un peu comme pour provoquer les choses, il s'aventura dans un aboiement ...

Les choses allaient peut-être bouger maintenant ...

... mais non ! Le Chien s'assit, toujours face à l'intrus, puis posa la tête sur le sol, les yeux regardant tantôt derrière l'intrus, tantôt l'intrus, tantôt le ciel ...

... et dans un élan de nervosité extrême, il poussa un bâillement, avant de se relever pour renifler le sol autour de lui ... faisant mine de ne plus s'intéresser au visiteur.

C'est à ce moment précis que ...

... Blackwood arriva sur les lieux :

" Et bien voilà une drôle de manière de communiquer avec la boule de poils ! "

Le capitaine anglais était accompagné de loin par le Natif, et se postait maintenant devant le nouveau visiteur de la Colline ... qui était assis par terre :

" Je vous en prie, vous pouvez vous relever. A moins que vous ne soyez bien par terre, auquel cas je serai forcé de décliner votre offre de m'assoir à vos côtés ... c'est que mes vieux os me tiennent encore sur le roulis, mais plus sur le sol dur ... ! "

En se relevant il s'époussetait d'un geste vif le cul du pantalon.

Non, non, je préfère bel et bien être debout, répondit-il à l'inconnu à la tignasse ébouriffée, mais face à un chien, je préfère autant voire plus ne pas trop le tenter de mes mollets. Hé, j'y tiens.

Son pouce et son index caressèrent sa barbiche, une fois, puis deux, pendant qu'il restait sans mot face à l'hôte silencieux, au grand ébouriffé, et au chien. Après quoi, il tendit la main.

Nicanor, Damic. Effroyable réputation auprès des dames, effroyable réputation auprès des chiens, mais doté d'une main qui ne mord pas, acheva-t-il avec un clin d'œil.

Nombre de messages : 17 Date d'inscription : 21/05/2008

Alors que le Capitaine ayant marché toute la nuit, ou presque, à l'aude il arriva devant une grande batisse.
Quelques hommes, les mêmes que ceux qu'ils l'avaient acompagné rôdaient devant ce que devait être l'entré.
Il resta quelques minutes figé et reprit son souffle avant de s'avancer vers l'un des hommes et de lui demander s'il était bien au répère de la Compagnie Noire.

Jack Sparrow qui sortait, se fit interpeler par une personne, il ne la reconnaissait pas.

- Suis-je bien au répère de la Compagnie Noire ?

Jack surprit de cette question répondit bêtement

- Bah oui vous y êtes. Pourquoi cette question ?

- On m'a demandé de venir ici pour parler de mon intègration au sein de cette confrèrie.

Jack de plus en plus surprit fini par reconnaitre le Capitaine

- Van Gratsen je suppose ! Capitaine Jack Sparrow pour te servir ... Viens, entre, mes affaires attendrons.

Jack Sparrow fit demi tour et rentra suivit de près par le Capitaine Van Gratsen.

Blackwood resta figé devant la main du capitaine Nicamor ... cela ne lui avait pas échappé ... le visiteur avait eu un drôle de regard sur sa chevelure.
Sans pour autant saisir la main, l'Embrumé se courba devant le visiteur, sa chevelure se posant sur la main ouverte de ce dernier ...

" Capitaine Blackwood, actuel propriétaire du Black Knuckle-Bone, digne membre de la Compagnie Noire des Caraïbes ... "

Blackwood se redressa, comme satisfait de cette "poignée" de main ... puis ajouta :

" Vous n'êtes pas celui que nous attendions ... mais vous êtes là ! Et puis, le Chien avait besoin d'exercices ... "

Devant cette étrange présentation, le Natif ne pu retenir un rire moqueur ... il imitait à présent l'Embrumé, avec en guise de chevelure ses doigts ...

Au même moment ...

Un autre invité fit son apparition dans les jardins. L'homme avait l'air essoufflé, éreinté ... Blackwood l'aperçu par dessus l'épaule du capitaine Nicamor, puis vit Jack aller à sa rencontre ...

" Lui par contre, c'est surement celui qu'on attendait , puis regardant Nicamor, plus que vous en tout cas ... "

Le vieil homme eu un sourrire étouffé par sa barbe, puis s'avança vers l'invité, passant son bras sur ses épaules, l'entraina dans une promenade dans les jardins :

" Alors comme ça, votre réputation auprès des femmes n'est plus à faire ... hoho ... c'est que, vous n'êtes peut-être pas s'en savoir qu'au sein de cette maison repose deux challengers de taille ... "

Devant tous ces mouvements, le Chien ne savait plus où donner de la tête !
Lui qui était encore allongé sur le sol il y a peu, voyait en l'espace de quelques minutes arriver son maitre, puis le Natif, son compagnon de jeu favori, puis un nouvel intrus, qui, au vu de son état, n'aurait fait une proie que trop facile ... puis enfin le capitaine Sparrow ...

S'en était trop, il devait reprendre le contrôle de son territoire ... mais seulement après avoir baillé puis effectuer deux trois mouvement que seul la race canine était habilité à faire, bien sûr ...

Il se leva, alla à l'encontre de son maitre, fit mine de s'assurer que tout ce passait bien, avant de courir à l'encontre du nouvel intrus, de bifurquer vers le capitaine Sparrow, pour finalement revenir vers le Natif qui venait de laisser échapper un rire ...

Se figeant à son pied, le Chien regardait le vieil indien avec interrogation ... puis en l'espace d'une fraction de seconde, changea d'intention, puis fit mine de vouloir jouer ...

Nicanor se demandait intérieurement comment on pouvait réussir le prodige d'avoir des cheveux aussi rêches que touffus quand le grand bonhomme se baissa un peu vers sa main. Décidément, il y en avait, de la populace, soudainement.

"Peu importe".

Et bien, je suis bienheureux d'entendre les horribles réputations d'au moins deux autres auprès d'Elles. Tant mieux pour moi, tant pis pour eux, à charge de me faire oublier et point ceux-là.

Mais...

Il agita les doigts de sa main, celle qui ne fut pas serrée, en contractant, étirant, contractant... Ainsi de suite deux ou trois fois, les phalanges.

Blackwood?
Jefferson T. Blackwood?

Si c'est vous, j'ai une salutation d'un de vos partenaires passés d'abordage et de pillage.

Les doigts couraient dans le vide, se rappelant au néant qui leur fut offert.

Blackwood ne savait pas vraiment comment interpréter les mouvements de la main de son interlocuteur ... de mauvaises expériences passées à la taverne de Port Karhaix ne jouait pas en la faveur d'une posture décontractée du vieil homme :

" Un partenaire passé dites-vous ? Etait-il du même côté que le mien, ou vais-je devoir aller au delà d'un quelconque dédommagement ? "

Un peu machinalement, le poing droit du capitaine anglais commençait à se refermer, tandis qu'une sueur froide traversa sa nuque ... le bras gauche tenait toujours l'interlocuteur par les épaules ... prêt lui aussi à connaitre la réponse ...

Il leva le sourcil gauche et fronça l'autre, perplexe face aux réactions de l'interlocuteur. Puis, cessant machinalement sa gymnastique de la main, il la posa avec le coude en équerre sur sa hanche, profondément dubitatif, dans un long moment de silence au terme duquel, soudainement, il haussa les épaules.

Esteban Pardal, un beau pillage à vous deux, un beau partage aussi. Son salut, capitaine.

Il changea les positions du sourcil froncé et de celui levé, désinvolte.

Eh! J'ai tant l'air que ça d'apporter le mot d'un mort?

Blackwood explosa de rire :

"HAHAHAHA ! Allons allons ! On ne parle pas de séduction et de mort derrière ... à moins de petite mort lente, voire sucrée ..."

Le regard de Blackwood partit dans le vague, avant de recadrer avec la situation et son interlocuteur :

" Esteban Pardal vous dites ... Pardal ... ne serait-ce pas là un jeune capitaine batave ? De là à me passer le bonjour, aurais-je fait quelque chose qui en vaille la peine ? "

Une fois de plus, le regard du capitaine fuit la discussion ... pour revenir :

" En tout cas, ce jeune capitaine est polie, et cela force mon respect ... vous lui retournerez son salut, en espérant le croiser en personne à nouveau. "

Les deux hommes recommencèrent à déambuler dans les jardins, et bientôt le regard du vieil anglais, une fois n'est pas coutume, fut attirer par le vide ... mais cette fois-ci, ce ne fut pas par ses pensées ... une petite silhouette, étrange et glaciale, avait fait son apparition à l'entrée des jardins ...

Nombre de messages : 9 Date d'inscription : 31/05/2008

la jeune fille s'approche des deux hommes toujours avec le regard vide elle avançais lentement, accompagner également de son chaton qui miaulais en découvrant le paysage autour de lui. Arrivant à leur hauteur elle leva la tête

C'est vrais que c'est mal de tuer les gens ?

Intrigué d'abord, interloqué ensuite à la vue de la gaminette, amusé finalement, il se fendit d'une attente silencieuse avant de répondre, puis d'un sourire sibyllin.

Non. Pourquoi ça le serait?
Ce qui est mal, c'est de tuer sans faire en sorte que la mort ait valu le coup d'être vécue pour qui la reçut, petite. Regarde....

Il faillit caresser le chat, mais retint son geste, un chat ayant des griffes, les griffes... griffant, et Nicanor n'aimant pas les griffes des chats.

Mmmm... Ton petit chat, tu l'aimes beaucoup? Il aurait neuf vies. Si tu lui en enlèves une un jour, ou même, s'il s'en saborde une lui-même, tu trouverais... "bien", de le faire sans poésie?

Un peu d'élégance et de féérie en cette terre : si tu veux faire le bien en donnant la mort, tue quelqu'un qui la mérite, et fais-le pour qu'il ait pleinement vécu cet instant.

La mémoire des choses, c'est important.

Nombre de messages : 9 Date d'inscription : 31/05/2008

regarde sans lacher du regard Damic et répondent à son sourire

Mon chat ? si il vous griffe vous mourrez surement dans les minutes qui suivrons.
son visage c'était changer en vice rempli d'une malice... si...

Les gardes à l'entrer pourrais témoigner... ils l'avais mérité je leur avait dit de pas toucher... maintenant ils doivent faire un long sommeille

elle ferma les yeux et marqua une courte pose. Les rouvrent elle chuchota
Ils sont gentils avec moi peu etres qu...
Non.. Ils ont surement peur de toi eux aussi....il faut qu'ils reposes à jamais, sinon ils vont profités de toi... tu as envie qu'ils profite de toi ?
non... très bien ma soeur.. mais c'est dommage encore des gens vont dormir...
plus fort
Vous avez devez avoir sommeil,

A peine avait-il entendu la tirade enfantine que Blackwood mit deux doigts dans sa bouche pour siffler en direction de la demeure ...

Le Natif, peu éloigné dans les jardins, s'approcha de la scène, non sans se méfier ...

Blackwood resta ensuite un moment interloqué, avant de fixer la petite fille, le regard vide ... au loin, on pouvait apercevoir trois hommes en noir accourir ...

" Capitaine Nicanor, il semblerait que votre venu en ces lieux n'est pas apportée que de bonnes augures ... "

Le Natif avait désormais rejoint les deux hommes ... puis attrapa le bras de l'anglais, comme pour le prévenir de quelque chose ...

" Ne t'inquiètes pas mon vieil ami ... tout comme toi j'ai senti cette drôle de présence. Certains signes ne trompent pas ... "

Puis regardant la petit fille, il dit :

" Lors de mes voyages en Inde, si je peux qualifier cela comme tel, j'ai vu beaucoup de choses étranges ... défiants toute raison. De là j'ai compris, ou du moins appris, que la mort n'était qu'une étape, un palier vers la pureté de l'âme ... Selon les individus, plusieurs paliers doivent-être franchis ... et je dois en avoir pas mal à franchir ... "

Puis s'abaissant, et s'agenouillant d'une jambe devant l'enfant :

" Vois-tu petite, les gens de là-bas ne considère pas plus l'homme que l'animal ... nous sommes tous sur terre à la même enseigne ... et chaque palier peut être franchi sous différentes apparences ... en disant ces mots, il regarda le chat, puis ajouta... et si mon corps a sommeil, mon âme elle, ne dort jamais, car son éveil est perpétuel ... "

Blackwood se releva, vit les hommes en noir arriver à sa hauteur, jeta un coup d'œil au Natif, puis conclut pour la fillette en lui tournant le dos :

" Je ne sais pas ce que tu es venu chercher ... car je pense que chacun sur terre, peu importe l'état de son âme, cherche quelque chose ... Blackwood donna des consignes inaudibles aux hommes en noir, indiquant les portes d'entrées, puis conclut, ... mais tu ne trouveras rien ici ... passe ton chemin, ou exprimes ta demande ... je me tiens là devant toi, et t'écouterai ..."

Nombre de messages : 9 Date d'inscription : 31/05/2008

Des étapes dit tu ? Il n'a d'étapes que dans mes façons de plongé les hommes dans un sommeil sans éveil. La mort est un jour qui mérite d'êtres vécu... peu êtres que tu veux la vivre pleinement ?!

Son regard c'était changé de vide à enflammer. Le regard d'une personne prêt à tuer sans aucune once de pitié et qui n'en serait pas à son premier. On ressent son aura meurtrière jusque dans les tripes.

Une autre chose, l'homme égal à l'animal ? insultes-tu l'espèce animal ? mais ils ne vaudront jamais un dixième du félin alors...

LUCY !!! Calme toi mon enfant.

hum ? oh.. maitre Cat... veuillez m'excuser

son regard devint à nouveau vide à la présence de Straycat qui venais d'arriver dans les Jardins. Son sabre à la main le Cat s'avança vers le petit groupe. Arrivé à hauteur de Lucy il caressa ses cheveux avant de lui faire un baiser sur le haut du crane.

Bon!

regarde en direction de Jeff encore sur le genou avec un petit sourire sur le coin.

Un CNC à terre je me demande ce qui m'empêche de te trancher la tête... On va dire que ta mort ne me serait pas de grande utilitée vu que je ne pourrais m'échapper hahahaha y a trop de molosse dans le coin. En plus j'avais envoyé ma chère fille pour vous passer mes salutations avant que je ne pose pied à terre. J'espère qu'elle n'a pas fait trop de dégât hehe. Quand Lucy à des envies de meurtre elle deviens particulièrement dangereuse... surtout sa façon de tuer...

LEGEND :
XXXX: Action
XXXX: Lucy (Dark side)
XXXX: Ludivine (Timide)
XXXX: Michael Straycat (Capitaine)
XXXX:Lunatea Straycat (Lieutenant)

Nicanor avait, durant toute la scène, été pris d'une perplexité sidérée mais stoïque d'apparence. Ayant croisé les bras, l'un se terminant par ses doigts allant et venant avec sa barbiche, il suivit l'entièreté des choses avec un sourcil levé, regard épris d'acuité.

A la fin, du moins vers ce qui semblait être la fin, il demanda à la fille, l'air anodin.

Petite... Regarde-moi, et bien. Y a-t-il des ailes noires dans mon dos?

D'un timbre plus vif, il s'adressa derechef à l'Embrumé.

Capitaine Blackwood,
Quelles sont ces noires nouvelles que vous évoquez à peine? Eh, celui qui amène les augures est en droit de savoir quels sont les sillages qu'il a ouvert, à moins que ce ne soient eux qui s'ouvrent à lui.

Blackwood regardait l'inconnu qui se tenait face à lui :

" Trancher la tête, dites-vous ? C'est un sort que l'on garde pour les pirates dans ces eaux ... à priori cela ne concerne personne ici ... je ne vois que des individus sans grand charisme, et par dessus tout impolis, au point d'interrompre une discussion sans avoir l'obligeance de se présenter ... "

Approche de l'oreille de Nicanor, puis ajoute :

" Sans me tromper, je crois qu'il s'agit là d'un de ceux qu'on appelle piastreux ... pas de quoi s'alarmer, disons que nous avons un léger contentieux ... nous les avons fait ramer par le passé ... "

Puis se retournant vers l'inconnu :

" Bien ! Si mes informations sont exactes, vous devez être le capitaine Straycat, pirate tant bien que mal, adepte de l'armateur, et absent lors de notre contacte avec quelques uns de vos confrères au large de Florida ... Je vois que vous avez réussi à retrouver votre chemin depuis ... peut-être avez-vous appris à utiliser la boussole ?, puis regardant Lucy ,à moins que ce soit les entrailles d'un pigeon, ou la position de la lune qui vous aient renseigner ? "

L'Embrumé se tourna à nouveau vers le capitaine Nicanor, puis dit :

" Cher ami, si nous reprenions cette légère discussion ... à moins que ce capitaine ai une demande à formuler, ce dont je doute, nous n'avon pas grand chose à faire ici ... espérons que son enfant ne tue pas plus de gardes, c'est que notre réputation en prendrait un coup ! "

Blackwood reprit Nicanor par les épaules, l'entrainant de nouveau vers une des allées du jardin ... tandis que le Natif restait à distance, fixant le chat, à moitié sur ses gardes ...

Il salua (à peine) d'un regard grivois (à peine) ceux qu'il quittait, et après quelques pas, reprit avec l'Embrumé.

Parlez-moi de votre compagnie.

Pan! Comme un soufflet vous remugle aux narines, comme une lame marine vous assaille sans crier gare, et peut-être même comme un ouragan - mais c'eût été compter alors sans un minimum de bon goût -, la question jaillit.

Nombre de messages : 9 Date d'inscription : 31/05/2008

Regarda un instant les 2 hommes s'éloigner, baissant la tête il tourna sont regard vers sa fille,

pfiouuu ma jeune enfant. Ne peu-tu pas resté un moment sans tuer ? avec un regard qui pourrais s'approcher du chagrin

Mais, mon capitaine... se n'est pas moi... mais Luçy... pardonnez moi de ne pouvoir la contrôler.

Releva la tête il sortit son mousquet et fit feu en direction de Jefferson, le bruit fit s'envoler les oiseaux alentour qui se reposaient. La balle quant à elle continua sa route après avoir frôlé la tête de l'homme.

Effectivement, je suis le Capitaine Straycat Michael, pirate sous pavillons piastreuse. Florida ? oooh j'ai entendu dire que ma femme aurait esquiver Wilhem haha qui tentait de l'aborder hahaha... m'enfin..
Vos grades ne sont pas morts, ils sont endormit et Paralysés... tenez c'est l'antidote pour la paralysie .
Lance une fiole vers les 2 hommes

Ma venu n'était que par courtoisie et par respect envers mes ennemis... Mais l'honneur n'est pas de mise ici faut-il croire

Admin Nombre de messages : 490 Date d'inscription : 05/08/2006

Le pyrate sent comme un pique se pointer dans son dos...

- Et c'est toi qui parle d'honneur et de respect le Cat ? Sais-tu même ce qu'est le sens de ces mots ?
Tu oses venir jusqu'à chez nous empoisonner nos hommes et tu parles de respect ?

La personne derrière la Capitaine Straycat retire sa lame d'entre les omoplates du pyrate et crache par-terre.
Le bruit d'une amorce de tromblon se fait entendre mais celui-ci se trouve encore sous la cape de la jeune femme.
La Néréide fait signe à l'Embrumé de continuer son chemin et son regard se pose sur l'enfant au visage paisible.

Ann-Kathleen renifle, ne se laissant pas attendrir par cette fillette, se rappelant de ses jeunes années et des 400 coups qui y sont rattachés.

- Pourquoi ne me dis-tu pas les vraies raisons de ta venue ?

Le primate, posé sur l'épaule de la Néréide regarde avec attention le chat de la fillette.
- Reste éloigné de ce sac à puces King Jack ! Il est hors de question que tu attrapes quelles cochonneries que se soit avec ça !

Nombre de messages : 9 Date d'inscription : 31/05/2008

Straycat esquissa un sourire légèrement nerveux, puis reprenant son souffle tourna légèrement la tête de façon à ce qu'on sache qu'il s'adresse à la personne qui lui braque de la poudre dans le dos. Mais il n'en serait pas à sa première expérience en la matière. Si on remonte dans le temps une Die lui avait ouvert le ventre d'un balle a bout portent lors de la révolution contre Ban

A ce doux parfum et cette voix si particulière qu'envoûtante, je peu aisément dire que c'est vous très chère Krowley... Voilà bien longtemps que l'on ne s'était pas vu, je me souviens surtout de votre molosse qui failli écrasé ma femme de ses mains.

Tu parles de moi mon amour ?!

Une femme arriva par derrière la Néréide et lui fit sentir sa lame au niveau de l'entre jambe

Il ne faudrait pas que tu sois blessé a ce niveau-là non ? Lache tes armes petite garce, tu apprendras que quand tu dégaines il faut t'en servir si tu ne veux pas de mauvaise surprise comme celle là ensuite hi hi hi

Le chat qui tournait autour de la Ludivine sauta en direction du primate sur l'épaule de Krowley

Ah mon coeur, tu es descendu du pont finalement

Oui, j'avais une missive à envoyer

Admin Nombre de messages : 490 Date d'inscription : 05/08/2006

De la main qui était hors de la cape, Ann-Kathleen laissa tomber son épée qui se planta dans le sol et entame lentement un demi-tour pour voir à qui elle avait à faire.

BANG !

Le coup de feu parti de dessous la cape de la Néréide et se logea dans le pied gauche de son adversaire sans que cette dernière ne s'y attende.
En même moment, King Jack avait sauté pour s'accrocher à une branche et disparu dans l'arbre. Le chaton n'avait pas non plus plus apprécier ce bruit et s'était de nouveau réfugié dans les pattes de la fillette.
Ann-Kathleen se baissa rapidement pour reprendre son épée et sortit son deuxième pistol de dessous sa cape pour mettre en joue le Capitaine pyrate.
La lame se glissa sous le menton de la femme qui s'était agenouillé par terre afin de masser son pieds meurtri.

- Un seul petit geste et c'est avec la mort que tu prendra ton prochain verre, Catin !!!

Des hommes en noir venaient par-là, alerté pour la seconde fois par un coup de feu. La Néréide augmenta le son de sa voix afin de bien se faire entendre par le Pyrate, toujours en joue.

- Et c'est valable pour toi aussi le Cat ! Tu vas partir avec ta fillette ! C'est pas un spectacle pour les mioches !!!
Ta Catin de femme te sera rendu quand tu seras remonté à bord de ton rafiot et que les homme en noir qui te suivront seront revenu me le dire !
Elle aurait seulement du se contenter d'écrire la missive qu'elle avait à écrire et non de venir m'insulter chez moi par son unique présence !

Les homes en noir étaient à présent arrivés, mousquets et tromblons en main, ajustant leur visée sur les trois individus. Ann-Kathleen donne un coup de pied dans le pistolet de la femme dont la main tentait de s'en approchait. Le deuxième coup de pied lui atterrit dans son estomac.

- Mauvaise idée Garce !

On pouvait voir une lueur mauvaise dans les yeux verts de la Néréide. Elle cracha par-terre.