Arrivée....

Alexandra de castillo arriva au quartier général de la CNC.Elle avancait avec prudence.
Puis elle vue le capitaine Bonny au loin et elle accéléra le pas pour la rejoindre.

Ah capitaine Bonny, je suis heureuse de vous rencontrer enfin!Vous pourrez peut etre m'aider...hum...pouvons nous aller dans un endroit plus à l'écart?

La jeune femme habillée en noir se retourne vers d'où venait la voix. Ses cheveux roux tombant sur ces épaules, elle passa sa main pour ramener une mèche derrière ses oreilles, découvrant ainsi son visage. Tout d'abord surprise par l'énoncé de la jeune femme au teint bronzé des espagnols, elle lui sourit gentiment.
-Vous devez faire erreur Madame. Je ne suis pas le Capitaine Bonny.

Une légère rougeur apparait alors sur les joues de la femme en noir. Elle continue,
-Mais si le désirez, je peux la faire appeler, peut-être est-elle là, je ne l'ai pas encore vu aujourd'hui.
Qui dois-je annoncer ?

Autour de vous se passent comme à l'accoutumé les taches quotidiennes des agents de la Compagnie Noire. Des femmes et des hommes, tous habillés de tuniques noires vont en flots incessants à l'intérieur du bâtiment, le plus souvent en petits groupes de cinq personnes environ et font le va et vient entre les différentes parties des quartiers extérieurs.

Vous appercevez alors que la jeune femme rousse qui vous parlait à l'instant tient dans ses mains un petit carnets de feuillets et une mine de charbon.

Le capitaine alexandra de castillo sursauta quand elle vit que se n'était pas le capitaine Bonny.après quelques secondes de reflexion, elle s'excusa auprès de l'homme en noir et lui dit:
Si vous l'appelez, veuillez annoncer Alexandra de castillo, capitaine nouvellement arrivé dans les caraibes.

Puis baissant la voix et chuchotant a son oreille,la capitaine De Castillo lui dit:

Je suis nouvelle dans la confrérie et j'aurais voulu quelques conseils...hum...hum...fit elle car un capitaine c'était arreter a coté des deux personnages l'air de s'occuper d'une carte avec des yeux qui se dirgeaient vers les deux personnes.

Sans regarder son carnet, la femme en noir griffone un mot dessus avec sa mine de plomb, toujours souriante, elle continue,
-Très bien Capitaine de Castillo, je vais la faire appeler, je vous demanderai de bien vouloir patienter quelques instants je vous prie.

La jeune femme appela l'autre homme en noir pour lui remettre la feuille de papier qu'elle avait arrachée de son carnet, lui demandant d'aller chercher la Néréide.
Puis , se retourne de nouveau vers la capitaine espagnole,
-Alors comme ça, vous avez envie de rejoindre la Compagnie Noire des Caraïbes ?

Quelques instants plus tard, un groupe de trois personnes viennent à se rapprocher. Il y a là un homme et une femme, tous deux habillés de noir et une deuxième femme, habillée d'une veste rouge sombre, les cheveux roux et attachés en arrière par un ruban. On lui désigne la femme espagnole d'un geste de présentation. La Néréide s'approche,
-"Bonjour ! Vous devez être la Capitaine de Castillo, Alexandra de Castillo. Je me présente, Capitaine Anne Bonny.
Je suis ravie de vous accueillir ici. Avez-vous fait bon voyage ?"

Le capitaine Alexandra de castillo vit le groupe de trois personnes arriver.
La Néréide se présenta et le capitaine De Castillo dit:

Bonsoir capitaine Bonny;je suis heureuse de vous rencontrer en ces lieux.
L'acceuil est chaleuseuse et j'y suis plus a l'aise qu'a mon arrivée.

Le capitaine sourit, prit a parchemin et une plume et dit:

Pourriez vous m'accordez quelque temps pour des questions sur la confrérie et ces "techniques"?

En voyant la Capitaine de Castillo sortir plume et parchemin, Anne fut surprise.
-"Capitaine, je suis prête à répondre à vos questions, cela dans la limite de mes possibilités. Cependant, vous conviendrez fort aisément que je ne puisse pas rentrer dans des détails technique comme cela.
Si vous le désirez, nous pouvons aller nous assoir autour d'un verre, nous en serrons plus à l'aise."

Bonjours à tous et à toutes.

Pour ceux qui ne me connaissent pas, je suis Cugel Atine, le primus des libres marchands ferengi.

Veuillez acceptez mes sincères salutations.

Je viens vous voir car j'ai été contacté par Alexandra de Castillo. Nouvellement arrivée dans les Caraïbes elle était à la recherche d'une confrérie, marchande.

Elle a choisit entre nos confréries respectives la votre. Cependant il semblerait que du à l'absence du légendaire Van Toorn Ziellens, elle est perdue patience et m'a demandé de nouveau si elle pouvait nous rejoindre car elle se trouve dans la même zone que nous et semble avoir quelques difficultés.
Voici la réponse que je lui ai faite.

Citation :

An de Grâce 1607, 15 septembre, 13h41
Re- nouvelle demande...

Bien entendu, j'ai de bons rapports avec la CNC, vous pouvez rejoindre les libres marchands ferengi le temps que vous voudrez si plus tard vous vouliez rejoindre la CNC.

Je vous invite donc à postuler chez nous, vous serez acceptée comme associé.

J'attire également votre attention sur la charte que je vous ai envoyé, en devenant associé vous acceptez notre façon de faire.

Cordialement
Capitaine Cugel Atine
Les Libres Marchands Ferengi
Pigeon envoyé au Capitaine Alexandra De Castillo

Depuis elle ne c'est pas manifestée.
Je peux essayer de lui apprendre les rudiments de la dure vie dans les Caraïbes avec nous si elle le souhaite et le jour ou il lui sera plus aisé de vous rejoindre, de le faire si elle le souhaite toujours.

Voilà notre maison mère vous est ouverte et vous y êtes tous les bienvenus. Je n'hésiterai pas à revenir prendre des nouvelles.

Alors qu'Anne regardait le Capitaine de Castillo tenir son parchemin et sa plume, une voix se fit entendre par derrière.
Le Capitaine Cugel Atine se tenait là, une lettre à la main.
Etonnée une nouvelle fois, Anne fronça légèrement les sourcils mais salua poliement le Capitaine des Libres Marchands Ferengi.
-"Capitaine Atine, quelle surprise ! Soyez le bienvenu par ici. Cela devient rare que nous nous croisons."

Après la lecture du parchemin, elle continue, ses yeux verts se posant tour à tour sur les deux capitaines qui se tenaient devant elle,
-"J'ai enffet été mise au courant pour les souhaits du Capitaine de Castillo ici présente, et de ses choix quant à rejoindre une confrérie.
De notre côté, elle fut prévenue de l'absence temporaire du Capitaine Van Toorn Ziellens et c'est ce pourquoi elle est venue nous rencontrer ici même dans nos quartiers.
Voir, comparer, juger, déduire, conserver l'enthousiasme et le sang-froid, soumettre l'inspiration à la patience, voilà le grand secret.
Il semblerait que le Capitaine de Castillo eusse cru que sa simple demande ferait d'elle un membre de la Compagnie Noire des Caraïbes, je me vois désolée de decevoir sa patience ainsi mais nous voulions avant tout discuter de cette éventualité en présence du Capitaine Van Toorn Ziellens. Son retour est proche et nous n'éxcluons pas le fait d'accepter le Capitaine Alexandra de Castillo, nous n'en avions pas encore parlementé pour ainsi dire."

Anne se tourne vers Alexandra de Castillo,
-"Capitaine, si votre patiente vous fait retourner vers vos choix premiers, je le comprends et vous souhaite une bonne continuation parmis les Libres Marchands Ferengi. Je ne doute pas de l'aide et du savoir-faire qu'ils vous apporterons."

Je reviens pour confirmer qu'Alexandra de Castillo est associé chez nous...
Nous allons voir comment cela se passe.

Si elle ne se plait pas chez nous je tacherai autant que possible de lui expliquer comment vous rejoindre et si nos finances, inexistantes pour le moment, le permettent de lui procurer un navire qui augmente ses chances pour la traversée Curacao /Florida Key.

Acceptez s'il vous plait cette caisse de Haut Médoc capitaine Bonny ainsi que les sincères salutations de tous les ferengis.

Le capitaine De Castillo vit le capitaine Atine arriver, le salua.
Pendant tout l'échange qui suivit cette arrivée, le capitaine De castillo rougit de plus en plus jusqu'à en ressembler à une tomate, puis reprit contenance d'un seul coup.
Elle dit:

Oui je confirme...je suis impatiente de commencer l'aventure marchande...
Elle se rependit en excuses en bredouillant
Je...je suis désolée ca...ca...capitaine Bonny, vraiment désolée...J'ai...j'ai vu leur confrérie dans le coin et je me suis dit...enfin je me disais au lieu de rester seule...enfin j'espère que vous me pardonnez....

Elle regarda le capitaine Bonny avec attente et interrogation...

Bonjours à tous,

Je suis dans le regret de vous annoncer qu'un de vos membres a lâchement pillé la jeune et inexpérimenté Alexandra de Castillo.

Citation :

"14 novembre, 09h22 Nous avons été abordés par Cuello (Galiote ),
ils nous ont balayés et se sont emparés du navire.
14 novembre, 09h22 Ce jour, Cuello (Galiote ) a tiré sur nous et nous avons été touchés.
14 novembre, 09h22 Ce jour, Cuello (Galiote ) a tiré sur nous et nous avons été touch

Comme j'ai toujours entretenue de bonnes relations avec vous j'espère sincèrement que vous comprendrez que je demande pour Alexandra une compensation en réparation du préjudice causé, soit le remboursement (avec la perte du navire) de 90000p.

Merci d'avance.
Cordialement

Je confirme en effet qu'un de vos membres m'a coulé et m'a pris les piastres.

J'ai envoyé un message au capitaine concerné (le capitaine Guybrush Threepwood) pour lui expliquer nos bonnes relations mais il a dit qu'il était un pirate et qu'il fallait que je vienne moi meme les rechercher....

Comme à son habitude, c'était dans des ronflements effreinés que le Chien parcourait les jardins de la Colline. Il fallait le voire courir comme un dératé, toujours obstiné à poursuivre une chose invisible, et qui vu de l'extérieur, rendait la scène bien ridicule.
Mais dans les yeux du chien, tout pouvait avoir un sens, ce qui malheureusement échappait à la plupart des humains ...

Toujours est-il que rempli de fatigue, il retournait au quartier de son maitre lorsqu'il croisa des invités.

Le Chien devia alors de son chemin, pour venir à l'encontre de ces visiteurs.

Il commença par sentir les botines du capitaine de Castillo, puis après lui avoir tourné autour, et se dressant sur les pattes arrières, et lui adresse un aboiement amical, faisant mine de vouloir jouer ...

Mais son attention à l'encontre du capitaine Atine fut plus ... mitigée.
Il se figea, le ventre effleurant le sol, et pliant les oreilles en arrière, il lui montra les dents. Les grognements ne tardèrent pas à se faire entendre, et le Chien avait bien l'intention de camper ici, voulant faire valoir sa possession de l'endroit ...

Les deux chevaux arrivérent dans une grande gerbe d'eau, ils étaient trempés. La tempête qui faisait rage depuis plusieurs jours ne semblait pas se calmer. Le premier cavalier mit pieds à terre.

" bon sang Tomas il fallait vraiment venir ici à cette heure et avec ce temps??? je suis diplomate certes mais je ne suis pas étanche!!"

Le deuxième cavalier sourit, habitué aux grognements de son comparse!
"il faut assumer ses responsabilités Jhon!"

"Mouais, bon...OHE il y quelqu'un pour aceuillir deux représentatnts de la NIEUW NEDERLAND???ou nous devons rester dehors jusqu'a e que mort s'en suive?"

" Du calme mon ami, il faudrait peut-être frapper avant de crier comme cela"

Je descendis alors de mon cheval et approche de la porte -- Toc Toc --
Puis attendant des bruits derrière nous attendions paisiblement.

Un sifflement se fit entendre à travers le jardin. Le Chien rompit alors toute activité amicale pour courrir au pied de son maitre ...

" On dirait qu'il vous apprécie ... "

Blackwood adressa un bonjour de la tête à la jeune espagnole ...

" Désolé pour cette acceuil canin, mais le Chien n'apprécie guerre les français ... et il les reconnait assez facilement ! Sorte de sixième sens ..."

Le capitaine anglais eu un sourire narquois en direction du capitaine Atine.

" Pour notre petit problême, je crains que la CNC ne puisse rembourser le moindre piastre.
Comme vous l'avez souligné, il s'agit d'un pirate, et nous n'avons pas plus d'autorité que vous sur ses décisions ...
Et puis, il me semble qu'il vous a formulé un rendez-vous ... pour une fois qu'un pirate invite à son bord et non l'inverse ... Haha ! ... "

Au même moment, deux capitaines bataves, trempés de la tête au pied, attendaient non sans impatience sur le seuil des marches de la "colline".

" Messieurs, je règle ce problême et je suis à vous ... Prenez la direction du grand Hall, un homme va venir à votre encontre. "

Il leur fit signe du bras d'entrer dans la batisse ... puis reprit le dialogue avec les deux représentants Ferengi ...

" Alexandra, retenez qu'il faudra toujours vous méfiez d'un pirate à l'avenir ... votre apprentissage passe par la perte d'un navire, apprenez à faire valoir vos charmes auprès des plus rudes males de votre confrérie, nul doute qu'il sauront vous réarmer un navire digne de la marchande que vous êtes ... "

" En attendant, si votre souhait est toujours de nous rejoindre, je m'engage à vous porter assistance le jours où nous croiserons nos voiles ... et je m'engage à ne pas ouvrir le feu, dans le respect d'une bonne entente entre nos confréries, à laquelle tient le capitaine Atine. "

Puis le capitaine Blackwood salua les deux capitaines, et tourna les talons pour rejoindre le grand Hall ...

Au pied de la colline, il en contempla du bas les recès qui se laissaient deviner à l'œil, et imagina ceux qui s'y soustrayaient. Après avoir barboté près d'un cours d'eau avoisinant, parcouru de long en large l'étendue du val (du moins, s'en être donné un semblant de contentement), mais toujours sans avoir vu qui que ce soit, encore moins les instigateurs de sa venue...

Et bien, Nicanor s'égosilla : simplicité, facilité... Quant à l'efficacité, il verrait.

Eéééééééééééééééééééhooo -oh, oh, oh, oh, oh...

Surprenant cet écho.

Ooooooooooooooooohé - hé, hé, hé, hé...

Et je connais toutes les autres syllabes aussi, hi, hi, hi, hi...
Mieux vaudrait s'en passer - hé, hé, hé, hé...

"Surtout pour ma voix".

Nicanor, dépité de l'attente, ignorait la course qu'avait pu faire l'écho. Alors il s'était ouvert sa petite fiole et l'avait entamée. Soudain, un petit nuage furtif grossissait, un nuage qui avait aboyé.

Putain de putain, par la pute vierge, chuchota-t-il en rentrant subrepticement la nuque le temps des jurons, comme si l'on avait pu l'en frapper pour le sermonner.

Hé! Hééé! Oh hé hé, heu..; Oh! Calme, calme... "Putain de pute vierge, un nuage qui grossit et qui aboie, qu'est-ce que c'est que cette colline?"

Il posa la main droite sur la poignée du sabre, mais à cet instant précis, il commença à discerner un cabot. Dépité de ses pensées précédentes, il regarda sa fiole avec désabusement.

Hmmm... C'est la chaleur hein, pas le contenu, se dit-il à lui-même, avec un regard méfiant vers le récipient tout de même. Il se surprit maintenant, les mains sur les hanches, à prendre prestance pour son premier contact avec... un cabot. L'idée de jeter sans retour possible la fiole à la mer lors de sa prochaine navigation trottait désormais dans son esprit.